Dans le cadre de notre Atlas de la Biodiversité Communale, la Ville a disposé des plaques de suivis de population d’animaux.
Ces plaques servent de refuges aux petits mammifères et aux reptiles qui veulent échapper aux regards de leurs prédateurs tels que les rapaces.

A l’origine des tapis de carrières usagés, ils ont été récupérés et découpés pour leur capacité à accumuler la chaleur, en plus d’être souple pour s’adapter à tous terrains.
Seules les personnes autorisées par le personnel communal peuvent y toucher !
En plus d’être du matériel municipal, il est impossible de connaître l’espèce qui peut s’y trouver dessous.
Vous risquez de déranger un animal, de le faire fuir et donc de nuire à notre travail de recensement des espèces présentes sur la ville.
Vous risquez également de vous retrouver face à une espèce qui pourrait se sentir agressée et qui se montrera alors menaçante.

Pas d’inquiétude cependant. Tant que vous n’y touchez pas, vous ne risquez absolument rien.
Le but d’un refuge étant d’être caché, tous les spécimens qui se trouvent en-dessous feront le maximum pour ne pas sortir.

L’occasion de rappeler l’initiative des enfants de l’école Joseph-Lair qui ont décoré des plaques mises à disposition par Nature Environnement 17 dans le cadre du projet  un serpent dans mon jardin .